242 avenue Pugets – 06700 Saint Laurent du Var

Thérapie de l'adulte

L’adulte 

Les motifs de consultation les plus fréquents chez l'adulte

Le vécu de mal-être ou de souffrance, le besoin ou l’envie de changement étant des sentiments très subjectifs, chaque « demande » adressée au psychologue au début d’un suivi est unique et originale.

Si l’on peut résumer les motifs de consultation les plus fréquents, le psychologue appréhende chaque demande dans sa singularité.

  • Des évènements de vie. Certains patients ressentent le besoin d’être étayés pour surmonter des épreuves particulièrement difficiles telle que : un deuil, un divorce, un licenciement ou une réorientation professionnelle, l’annonce d’une maladie grave, une rupture …
  • Un vécu de souffrance psychique. La souffrance psychique peut emprunter d’innombrables voies d’expression, par le biais de symptômes très différents : des mouvements dépressifs, un sentiment de tristesse, une perte d’intérêts et de goût pour la vie, des troubles de l’image de soi (obsessions physiques), des troubles de l’estime de soi (auto-dévalorisation, honte, culpabilité) etc.
  • L’angoisse, l’anxiété, le stress, des attaques de panique, des phobies spécifiques, etc.
  • Des comportements embarrassants au quotidien : des troubles obsessionnels compulsifs, des conduites addictives (dépendance à une substance, aux jeux, dépendance affective …), des troubles alimentaires (anorexie, boulimie), des troubles sexuels, une hyperactivité, etc.
  • Des somatisations répétées dont l’origine somatique n’a pas pu être établie (maux chroniques, troubles digestifs, …)
  • Le désir d’entreprendre un travail sur soi,un questionnement sur soi, sur son histoire, une recherche personnelle ou l’envie de travailler sur un projet personnel peuvent également motiver une démarche vers un psychologue.

Je propose les accompagnements suivants

La psychothérapie psychanalytique

La psychothérapie psychanalytique est une méthode thérapeutique fondée sur les concepts de la psychanalyse. Elle postule qu’une partie de notre vie psychique est inconsciente. Nombre de comportements, de pensées, de désirs, de peurs nous échappent. Ainsi, une personne souffrant d’agoraphobie, malgré ses tentatives pour se raisonner ou se rassurer, ne parvient pas toujours à contrôler ses crises de panique.

Les symptômes, les souffrances, les comportements actuels s’ancrent dans l’enfance ; ils ont une histoire pour partie inconsciente. En séance, le regard se tourne vers le passé, les expériences vécues , l’histoire personnelle, familiale et ses enjeux.

Le travail psychothérapique repose également sur une observation attentive de ce qui se passe dans la vie actuelle, qu’il s’agisse des rapports avec les autres et le monde extérieur ou des images, rêves, sensations surgissant du monde intérieur. Au fil des séances, des souvenirs enfouis émergent, des émotions nouvelles surgissent. Le présent s’éclaire à la lumière du passé.

Le concept d’inconscient renvoie à l’absence de perception de son propre fonctionnement psychique. L’un des principaux enjeux de la psychothérapie psychanalytique est d’y donner accès.

Le rêve et la règle de « libre association » (exprimer sans discrimination toutes les pensées qui surgissent) représentent des voies d’accès privilégiées.

La relation au psychologue est un pilier important de la psychothérapie psychanalytique. Le psychologue est le réceptacle de nombreux sentiments qui peuvent être puissants.

De ce fait, le cadre est indispensable. Par ce terme, on désigne les conditions qui permettent une mobilisation du psychisme en toute sécurité. La neutralité du psychologue, la confidentialité, l’abstinence (interdiction de toute relation amicale ou agressive) et la pérennité (maintien constant du cadre) constituent le cadre.

La neutralité implique l’absence d’intervention directe dans la vie du patient. Elle respecte la liberté de choix et s’oppose en cela à toutes les techniques d’orientation du comportement. Il s’agit d’offrir au patient, tant sur le plan du lieu que de l’accueil, un cadre durable, stable et solide.

C’est la condition d’une alliance thérapeutique qui s’installe dans la sécurité nécessaire à un travail analytique ; elle correspond à la sécurité intérieure de base qui autorise un développement psychique heureux.

La neutralité du psychologue ne signifie pas distance froide. Bien au contraire, le psychologue est soucieux d’instaurer un climat bienveillant qui restaure le patient. Il se montre actif dans sa présence, ses interventions et interprétations.

Par ce dialogue avec les différentes facettes du monde intérieur, une nouvelle dynamique peut se relancer. Car il s’agit tout autant de se dégager d’une souffrance que de déployer sa personnalité et s’ancrer solidement dans ses fondations propres.

Le soutien psychologique

Également appelée psychothérapie de soutien, Le soutien psychologique permet un accompagnement dans la traversée d’une épreuve de vie douloureuse. Il peut s’agir d’un accident, d’un deuil, de l’annonce d’une maladie grave, un harcèlement, un divorce …

Face à cet évènement, l’équilibre psychique est fragilisé ou rompu. La psychothérapie de soutien est un étayage qui permet d’affronter et surmonter la situation actuelle. Elle permet un retour à l’équilibre antérieur.

Le soutien psychologique peut être également envisagé comme un accompagnement régulier.

La guidance parentale

Face à certains comportements de leur enfant ou adolescent, les parents sont parfois démunis et ne trouvent pas de réponses éducatives satisfaisantes.

Les entretiens de guidance parentale permettent au(x) parent(s), en l’absence de l’enfant /adolescent de traiter des difficultés rencontrées avec ce dernier.

Les situations de conflits,les relations, les comportements sont analysés.

Le psychologue donne un éclairage nouveau, resitue, contextualise les comportements rencontrés.

Il aide à repérer et distinguer ce qui appartient à l’enfant et ce qui revient aux parents dans la charge émotive des situations rencontrées.

Le parent n’est ni jugé, ni mis en cause. Le psychologue est partenaire ; il accompagne le parent en vue de dépasser cette situation et permettre une reprise d’un dialogue et de comportements plus apaisés.

La guidance parentale n’est pas une école de la « bonne parentalité » et ne propose pas de modèle éducatif unique.

Le travail de guidance parentale peut être une alternative à un travail thérapeutique direct avec l’enfant ou l’adolescent .

La fréquence des séances est à déterminer avec les parents.

Contact

Vous avez une question ou vous souhaitez prendre rendez-vous, n’hésitez pas à me contacter.